SAS, a dangerous book series
Pas de pitiee pour Teddy Bear
Acrylique sur papier noir Keaykolour 170g
100 x 70 cm
KGB contre KGB
Acrylique sur papier noir Canson 150g
42 x 29,7 cm
La filiere suisse
Acrylique sur papier noir Canson 150g
42 x 29,7 cm
Murder Inc. Las Vegas
Acrylique sur papier noir Canson 150g
42 x 29,7 cm
Le defecteur de Pyongyang
Acrylique sur papier noir Canson 150g
42 x 29,7 cm
le fugitif de Hambourg
Acrylique sur papier noir Keaykolour 170g
65 X 50 cm
The New York Times – 30 janvier 2013 : ‘La série SAS s’est vendue à environ 100 millions d’exemplaires dans le monde, ce qui en ferait l’une des séries les plus vendues de l’histoire, comparable aux James Bond de Ian Fleming’.
Style léger, introduction agressive, lecture rapide, exotisme, scènes de violence et de sexe : la série SAS a été éditée massivement de 1965 à 2013.
Fascinée depuis toujours par ces couvertures présentant des femmes puissantes, je ne peux que m’interroger sur la façon dont l’image des femmes a été véhiculée par ces romans d’espionnage.
En tant que femme et en tant qu’artiste, l’idée pour moi n’est pas de faire l’apologie d’un machisme sans tabou et révolu.
J’ai voulu revenir uniquement à ce qui a fait la force des SAS, l’incroyable pouvoir d’attraction de femmes fortes, armées, troublantes et puissantes qui trônaient en couverture de ses romans de gare.
On ne peut que penser qu’une bonne partie du succès de cette série était liée à ces couvertures .
Les femmes qui passent d’objet à sujet.
